Et pourquoi sommes nous si vulnérables à ce que disent les espaces où nous travaillons ? Et pourquoi l'abandon global est il si pénible au 90 rue de Tolbiac ?
Pourquoi rendre aussi insoutenable ce qui pourrait être un espace idéal ?
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire